mardi 30 décembre 2008

Il fait froid dehors.



EN VENTE : La prospérité.



























































Cher Lucien,


Je ne te connaissais pas ce prénom je connais de toi la provocation, la timidité, l'amour, la musique et la chanson. J'aimerais que tu écrives encore. Tu serais une idole, la France tournerait peut-être dans un autre sens en tout cas tu me manques j'aimerais que tu fasses confidence de tout ce que tu as vu à Paris, des paillettes qui coûtent cher au peuple, des spécificités de la capitale qu'on ouvre les yeux sur des textes prononcés par une icône.
Aujourd'hui tes successeur se succèdent sans accéder au succès. Le message des artistes est de plus en plus formaté, les tiens me font frissonner...
Je crois en la vie autant qu'à l'existence d'un ailleurs ou je l'espère tu es à la place qui te reviens de droit :
Un esthète artistique
et que cet endroit est si fabuleux que les solutions que l'on omet sur Terre elles sont naturalisées là-bas.
En espérant, un jour, dans l'immensité te retrouver.

Tustole


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