mercredi 31 décembre 2008

Bonne année princesse









Le petit matin qui suit le grand soir
Le lendemain de la première nuit
Quand le jour a remplacé le noir
Les couples s'éloignent dans les lits
Adam et Eve remettent leurs costum
es
"On s'appelle " comme le veut la coutu
me


Des amants qui se quittent bons amis
Mais je sais que la louv
e est dans la bergerie
Faut pas qu' j'l'appelle, pas qu' j'l'appelle




Attendre encore quelques jours
Faut pas qu' j'l'appelle, pas qu' j'l'appelle
Pas encore c'est trop court
Le combiné dans les mains j'hésite et je rac
croche
Pas pressé d' passer pour celle qui s'accroche
Fébrile et collante ça donne pas vraiment envie
Lointaine et distante, j' sais pas pourquoi mais c'est sexy
Meme si je ne pense que lui, si je reve de le revoir
Vade retro téléphone, il ne doit pas le savoir
Nos meilleurs techniciens se sont penchés sur la formule
C'est trois jours au moins le résultat de leurs calculs
ça me faisait des crampes et des fourmis dans le bras
J'aurais tout support pour te garder près d' moi
Les amants le soir se déshabillent en s'embrassant
Le matin c'est rare qu'ils se rhabillent mutuellement

Comment savoir si j'ai le droit de t'appeler
Si tu penses moi, si je vais pas déranger ?
C'est bon c'est décidé, je t'appelle demain
Pour t'inviter à une expo genre art contemporain
N'importe quoi j' m'en fous mais un truc qui fait bien
Et que je fais jamais mais ça t'en sais rien
Et si tu le veux, si tu le veux bien
Peut-etre qu'un de ces jours, un de ces quatre matins
Tu m'avoueras un peu géné que t'osais pas m'appeler

Je me vois rigoler, "c'est ridicule quelle drole d'ide !"
Vade retro téléphone
Trois jours mininum.

Prendre son temps prend tout son sens - sometimes.

mardi 30 décembre 2008

Aromatique tu nuis à ma politique.


Quand tu respires, c'est que tu penses avoir fini. Mais dès que tu ouvres les yeux, la dure réalité te revient en pleine face. Et là, pas le choix, tu suffoques. Au bord de l'étouffement, au bord de la fin. Mais tu t'accroches. Tu prends la corde. Et tu te la fixes au poignet. Et tu tires. FORT. Très fort. Et là, tu sors. Tu sors enfin de ce gouffre et tu passes les étapes sans aucun soucis, tu voles et ne dégringoles pas. Tu deviens l'exeption. L'opposé. L'incompréhensible.

Et tu aimes ça.
Tu adores ça.
Tu aimerais que les autres ne te comprennent pas.
Tu souris face à leur haussement de sourcil.
Tu t'en fiches.
Tu es libre.
Libre.


























à la recherche de l'avenir. Fuite du passé, tourne toi vers le futur. & AVANCE !!

Il fait froid dehors.



EN VENTE : La prospérité.



























































Cher Lucien,


Je ne te connaissais pas ce prénom je connais de toi la provocation, la timidité, l'amour, la musique et la chanson. J'aimerais que tu écrives encore. Tu serais une idole, la France tournerait peut-être dans un autre sens en tout cas tu me manques j'aimerais que tu fasses confidence de tout ce que tu as vu à Paris, des paillettes qui coûtent cher au peuple, des spécificités de la capitale qu'on ouvre les yeux sur des textes prononcés par une icône.
Aujourd'hui tes successeur se succèdent sans accéder au succès. Le message des artistes est de plus en plus formaté, les tiens me font frissonner...
Je crois en la vie autant qu'à l'existence d'un ailleurs ou je l'espère tu es à la place qui te reviens de droit :
Un esthète artistique
et que cet endroit est si fabuleux que les solutions que l'on omet sur Terre elles sont naturalisées là-bas.
En espérant, un jour, dans l'immensité te retrouver.

Tustole


dimanche 28 décembre 2008

Gainsbourg et son Gainsborough Ont pris le ferry-boat De leur lit par le hublot Ils regardent la côte Ils s'aiment et la traversée...

Un message pour le souvenir d'une telle période et de ses ressentis.










Vous savez, je suis heureuse comme ça. On travail tous très dur, mais c'est un peu source de joie, d'apprendre autant de choses concrètes, de choses aussi futiles parfois . Mon souhait du moment serait surtout de pouvoir profiter de quelques heures dehors dans le froid de l'hiver, parmis les lumières de noel, avant qu'elles ne s'en aillent sans m'avoir laissé l'occasion ultime que d'en profiter. Je veux manger des marrons chauds, perdre mon écharpe. Je veux sauter dans une flaque toute crade, que mon pantalon blanc soit complètement crado. Je veux sauter dans un lac toute habillée, je ne veux pas me soucier de tout. Je veux la liberté. Etre libertine. Je veux vivre, en un mot. Crier dans la rue mon amour pour celui que j'aimerais. J'aimerais serrer dans mes bras les sujets inconnus, j'aimerais inviter les gens à boire un café, un chocolat, du vin, et pourquoi pas du champagne ? Pour feter dignement notre rencontre. Je veux grandir, et redevenir petite. N'avoir pour but dans la vie que celui d'obtenir cette peluche rose, là, dans la vitrine. Au fond, on s'en fout de toutes ces articulations qui nous servent à agir. Tant qu'elles servent ... Oh mais moi je veux comme Antoine aller à Dysneyland, manger des barbe à papa. Aller dans un manège, sur un cheval , mes préférés. Je detestais l'équitation avant. Maintenant j'adore la sensation de déprendre d'une tierce personne. J'aime dépendre. La dépendance est une source d'ennuie. Je veux offrir à mon petit frères toutes les cartes qu'il voudra. Je veux allez sur un bateau et le conduire jusqu'à une ile deserte. Seule avec ceux qui seront là. Je veux faire de nouvelles rencontres. Je veux Clémence, Brice, Sarah, meme Antoine ( c'est dire AHA ).
Bon , l'heure.

On a toute la vie devant nous .?


The blank pages of my diary,
That I haven't touched since you left me,
The closed blinds in my home
See no light of day.
Dust gathers on my stereo
Cos I can't bare to hear the radio
The piano sits in a shaded space
With a picture of your face.

I'm scared to face another day
Cos the fear in me just won't go away.
In an instant, you were gone and I'm scared.

Coffee stains on your favorite book
Remind me of you so I can't take a look.
The magazines you left on the floor,
You won't need them anymore.

A towel left hangin on the wall,
No sign of wet foosteps in the hall
There's no smell of your sweet cologne.
I'm lying here alone.

samedi 27 décembre 2008

Stop and think why are you being such a dickhead for




Ne vous contentez pas de rêver votre vie ou de vivre vos rêves, vivez votre vie POINT .
Je me présente, Diane 18 ans, esprit complexe. Enchantée.